26 au 30 septembre 2017
Comme nous vous l’annoncions dans nos précédents bulletins, nous avons le plaisir de vous communiquer le programme de notre voyage en Allemagne du 26 au 30 septembre prochain.
Weimar et Dresde seront les étapes de ce séjour.
WEIMAR « L’Athènes allemand »
En bordure de l’Ilm, Weimar se situe au situe au cœur de la verte Thuringe.
Capitale du duché de Saxe-Weimar à partir de 1547 et ensuite du grand-duché de Saxe-Weimar-Eisenach jusqu’en 1918, elle est restée longtemps une ville de cour, avec une population de courtisans et de fonctionnaires. Son rayonnement intellectuel, sans commune mesure avec son rôle de petite capitale administrative, s’est étendu bien au-delà des limites du duché.
Cranach l’Ancien, Bach, Liszt, Schiller et, en premier lieu, Goethe, pour ne citer que les plus illustres, furent légion à Weimar, temple incontesté de l’histoire des idées allemande et européenne.
Capitale du classicisme allemand pendant une cinquantaine d’années, Weimar vécut son heure gloire avec l’arrivée au pouvoir de la duchesse Anna Amalia en 1758. Sous son impulsion, la ville devint un centre intellectuel et culturel de premier ordre dominé par Goethe, qui y exerça la fonction de ministre et y rédigea la plupart de ses œuvres, dont le fameux « Faust ». Plus encore, sa collaboration fructueuse avec Schiller durant onze ans marqua indéniablement l’apogée de la ville.
Le début du XXe siècle correspondit à une époque phare de la ville : celle du Bauhaus, ce courant prédominant de l’architecture du XXe siècle, qu’y introduisit en 1902 le belge Henry Van de Velde, l’un des maîtres de l’Art nouveau.
Enfin, faut-il rappeler que, dans l’histoire allemande, la période allant de 1919 à 1933 prit le nom de République de Weimar, puisque la constitution de cette première république allemande fut adoptée par l’Assemblée nationale dans le théâtre de la ville. Cependant, le gouvernement n’eut jamais réellement son siège à Weimar et regagna Berlin. Par sa tradition humaniste, la ville de Goethe avait simplement fourni à la démocratie naissante un contrepoint bienvenu au climat politiquement lourd du Berlin d’après-guerre.
Grâce à ses riches traditions et à son ouverture sur le monde, Weimar est devenue un haut-lieu culturel au centre de l’Europe avec ses musées et monuments dédiés aux poètes et humanistes les plus renommés, ce qui lui a valu d’être inscrite au Patrimoine mondial de l’UNESCO en 1998 et élue Capitale européenne de la Culture en 1999.
LE CENTRE HISTORIQUE
Une promenade pédestre nous mènera à travers la vieille ville, avec ses ruelles étroites et ses maisons typiques, où les innovations architecturales prudentes et un entretien soigneux du patrimoine veillent sur un paysage urbain harmonieux.
Très animé et essentiellement piétonnier, le centre-ville de Weimar regroupe en un périmètre assez restreint des curiosités d’exception, dont le plus grand nombre sont liées aux grands hommes de la Renaissance ou des Lumières allemandes. Il s’ordonne autour de deux importantes places, géographiquement voisines : la place du Marché (Marktplatz) et la place du Théâtre (theaterplatz).
C’est sur la place du Marché, dans une maison Renaissance (1529) aux pignons à volutes, que le peintre Lucas Cranach l’Ancien a passé en 1555 la dernière année de sa vie. En face s’élève l’hôtel de ville (Rathaus), construit vers 1500 et profondément remanié au milieu du XIXe siècle. Sur cette même place, le luxueux hôtel Éléphant, dont l’histoire remonte au début du XVIe siècle, était le rendez-vous attitré des poètes, artistes, intellectuels et hommes d’État, tels Goethe, Schiller ou Bach. L’ombre de Goethe plane toujours sur la place du Théâtre et plus particulièrement sur le Théâtre national allemand, que ce romancier, poète et dramaturge dirigea de 1791 à 1817.Dans ce théâtre furent joués les plus grands drames de Schiller et, par après, en 1850, y fut donnée la première de « Lohengrin » de Richard Wagner. Face au Théâtre national, le musée du Bauhaus fut le siège de l’école du Bauhaus entre 1919 et 1925.
La place de la Démocratie (Platz der Demokratie) peut, elle, s’enorgueillir de posséder un témoignage de première importance du classicisme de Weimar, c’est-à-dire l’inestimable bibliothèque de la duchesse Anna Amalia, dont Goethe fut le directeur entre 1797 et 1832, et qui a pour cadre le « Château Vert » ou « petit château français », de style Renaissance de 1562-1569.
Mais cette place retient aussi l’attention pour le Fürstenhaus, ancien palais de la seconde moitié du XVIIIe siècle, à la façade à colonnade et où a élu domicile l’École supérieure de musique « Frantz Liszt ».
À quelques pas seulement du centre-ville, le parc de l’Ilm, oasis de calme et de verdure, fut dessiné par Goethe, auquel le duc Charles Auguste fit ici don d’un pavillon en 1776. C’est dans cette maison toute simple, au toit en arête très pentu, que, jusqu’à la fin de sa vie en 1872, l’écrivain se réfugierait parmi la nature : elle est à présent reconvertie en musée.
Côté ouest du parc, une ancienne maison de jardinier fut habitée au second étage par Franz Liszt durant les mois d’été lors de son deuxième séjour à Weimar de 1869 à 1886.
Rejoignant le cimetière historique, un arrêt s’impose devant le caveau princier, de style classique de 1825-1827 et précédé d’un portique à colonnes. Ici reposent côte à côte Goethe, Schiller et le duc Charles Auguste.
LA MAISON DE GOETHE
Indissociable d’une visite à Weimar, la maison de Goethe, édifice baroque sur la Frauenplan, et le musée y attenant font revivre le souvenir de l’écrivain, qui résida ici une vingtaine d’années, jusqu’à sa mort en 1832. Dans cette maison, rien, pour ainsi dire, n’a changé depuis l’époque de Goethe : la salle à manger, le cabinet de travail, la bibliothèque avec ses 5.400 livres, la chambre à coucher et le jardin. Chaque pièce a fait l’objet d’une décoration spécifique recourant abondamment aux peintures et sculptures amassées par l’écrivain lors de ses voyages.
L’exposition permanente du musée nous replace Goethe dans le contexte du classicisme weimarien de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècle. Manuscrits, lettres et objets nous remémorent ses contemporains : hommes de lettres comme Schiller ou mécènes comme la duchesse Anna Amalia.
DRESDE
Au centre même de la Saxe et de la Suisse saxonne, voici Dresde, la plus grande ville d’ex RDA après Berlin et Leipzig. Sa situation sans pareille sur les bords de l’Elbe lui a valu d’être la résidence des ducs et des rois pendant 700 ans, ce qui explique toute sa richesse architecturale.
C’est au cours de la première moitié du XVIIIe siècle, sous le règne des Électeurs de Saxe et des rois de Pologne Auguste II le Fort et de son fils Auguste III que la ville se développa véritablement. Attirés par ces souverains mécènes, de nombreux artistes italiens, en particulier vénitiens, fréquentaient alors la cour de Dresde.
Quoique 90% du centre historique ait été démoli pendant la Seconde Guerre mondiale, sa reconstruction à l’identique a permis à la ville de renaître de ses cendres et d’offrir de nouveau au monde son vrai visage, celui d’une resplendissante capitale culturelle, avec des églises, un opéra de renom, un château, autant de monuments en majorité baroques, hérités d’un brillant passé.
Aussi, cette ville d’art et de culture est-elle de plus en plus prisée des touristes, en raison de ses abondantes collections artistiques et de son architecture baroque. Et c’est cette profusion, cette splendeur de son patrimoine culturel, qui a valu à Dresde le surnom de « Florence de l’Elbe ».
Si la Vieille Ville (Altstadt) englobe la quasi-totalité des monuments de Dresde, la Ville Nouvelle (Neustadt), tout aussi charmante et débordante d’animation, mérite pareillement le détour.
LE CENTRE HISTORIQUE (ALTSTADT)
Au sud de l’Elbe se trouve la Vieille Ville, que surplombent les silhouettes de l’opéra Semper (Semperopera), du Zwinger et de l’Église catholique de la Cour (Hofkirche).
Sur la place du Théâtre (Theaterplatz), l’opéra Semper compte parmi les opéras les plus réputés au monde.
Symbole de la ville de Dresde, cet opéra, à l’histoire tourmentée, porte, en fait, le nom de son architecte : Gottfried Semper. Ce bâtiment, de style Renaissance italienne, à la façade en arc de cercle, fut érigé de 1838 à 1841 et réédifié après un incendie entre 1871 et 1878. Presque anéanti après le bombardement de la ville en 1945, il fut reconstruit dans son état initial dès 1977. Ici furent acclamés les plus talentueux chefs d’orchestre et furent joués des opéras de haute notoriété, entre autres, de Richard Wagner et Richard Strauss. De ce dernier furent d’ailleurs créés ici neuf opéras, parmi lesquels « Le chevalier à la rose ».
De l’autre côté de la place du Théâtre, l’Église catholique de la Cour, que surmonte un clocher de 85 mètres, est la plus vaste église de Saxe. Cathédrale du diocèse de Dresde-Meissen depuis 1980, cette église fut bâtie de 1738 à 1755 dans un style baroque fortement inspiré des monuments italiens. Sa crypte renferme les sarcophages de 49 rois et princes de Saxe.
Contigu à cette église, le château de la Résidence (Dresdner Schloss), de style Renaissance de la fin du XVe siècle, où vivait jadis la cour, frappe le regard par l’énorme mosaïque (102 mètres) couvrant l’une de ses façades et mettant en scène « La Procession des ducs », autrement dit 35 margraves, princes-électeurs et rois sur une période d’environ 1000 ans. Exécutée entre 1872 et 1876 par le peintre Wilhem Walter en technique de sgraffite, cette peinture monumentale fut transférée en 1906 sur 25 000 carreaux de porcelaine de Meissen.
Passage obligé au centre de Dresde, la Neumarkt (Nouveau Marché), la place la plus célèbre de la ville, a été réaménagée d’après le modèle de l’ancienne et élégante place baroque du XVIIIe siècle.
Sur cette place, l’imposante église Notre-Dame (Frauenkircke), inaugurée en 1743, passait pour être l’édifice le plus représentatif de l’architecture sacrée protestante jusqu’aux événements tragiques de 1945. Durant le régime communiste, ses ruines symbolisèrent de façon saisissante la destruction de la ville. Après la réunification de l’Allemagne, cette église, au dôme colossal, emblème de Dresde, fut rebâtie à l’identique de 1993 à fin 2005 en faisant usage de tous les matériaux primitifs récupérables, combinant ainsi, à l’extérieur, pierres noircies et pierres blanches neuves. Sa réouverture en 2006 a coïncidé avec les célébrations du huitième centenaire de la ville.
Sur le côté sud de l’Altmarkt (Vieux Marché), l’église Sainte-Croix (Kreuzkirche), la plus vieille église de la ville (XIIIe siècle), a été modifiée dans le style baroque entre 1765 et 1792, après sa démolition pendant la guerre de Sept Ans. Derrière cette église se dresse le nouvel hôtel de ville (Rathaus), immense édifice néo-Renaissance du début du XXe siècle, avec, à son sommet, une statue d’Hercule.
LE ZWINGER
C’est assurément le bâtiment le plus remarquable de la fin du baroque en Allemagne et, plus encore, l’un des exemples les plus révélateurs d’architecture baroque tardive en Europe. Aussi, la visite de ce palais du XVIIIe siècle, institué à la gloire d’Auguste II le Fort de 1710 à 1728, s’inscrit-elle comme l’un des temps forts de toute visite à Dresde.
Parmi les cinq musées que comporte le Zwinger, nous avons sélectionné la Galerie des Maîtres anciens (Gemäldegalerie Alte Meister), une pinacothèque rassemblant l’une des collections de peintures les plus denses du monde due à Auguste II le Fort et son fils Auguste III.
Aux cimaises se succèdent des trésors de la peinture de la Renaissance italienne et du baroque, aussi bien que des toiles de peintres flamands et hollandais des XVIe et XVIIe siècles. Tintoret, Titien, Véronèse, Giorgione (« Vénus couchée »), Raphaël (« La chapelle de Saint-Sixte »), Botticelli, Mantegna…, autant de maîtres italiens qui retiendront tout notre intérêt. Parmi les chefs-d’œuvre de l’art flamand et hollandais, signalons le « Triptyque de la Vierge à l’Enfant » de Van Eyck en 1437, l’« Autoportrait avec Saskia » de Rembrandt, « Bethsabée » de Rubens, « Jeune fille lisant une lettre à la fenêtre » de Vermeer…
Le musée nous gratifie encore d’œuvres maîtresses de la peinture allemande des XVe et XVIe siècles (Dürer, Holbein, Cranach l’Ancien), de la peinture française des XVIIe (Claude Lorrain, Nicolas Poussin) et XVIIIe siècles (Watteau), en plus de la peinture espagnole des XVIIe (Zurbaran, Le Greco, Vélasquez) et XVIIIe siècles, aux côtés des artistes italiens du XVIIIe siècle, tels Tiepolo et Canaletto avec ses « vedute » (vues de villes) comme celle de Dresde.
LA VILLE NOUVELLE (NEUSTADT)
Sur l’autre rive de l’Elbe, un quartier baroque et tendance se prête admirablement à la flânerie. Cette partie de Dresde, en grande partie épargnée par les ravages de la guerre en 1945, groupe le territoire de l’Altendresden (Vieux Dresde), qui brûla en 1685. Elle a été rebaptisée Ville Nouvelle (Neustadt) lors de la réédification du quartier pour laquelle la pierre fut rendue obligatoire.
La Neustadt révèle deux visages : le quartier baroque avec ses fastueuses demeures bourgeoises et ses cours intérieures romantiques, et le quartier branché d’Äusseren Neustadt, au style complètement opposé, avec son décor pittoresque de rues étroites et arrière-cours sinueuses, où les maisons anciennes voisinent harmonieusement avec les maisons rénovées, parmi d’excentriques boutiques et d’innombrables pubs et restaurants.
C’est par la Haupstrasse que l’on pénètre dans la Ville Nouvelle. Avec ses rangées de platanes et de commerces, cette agréable avenue est bordée par de jolies demeures du XVIIIe siècle de style baroque et néo-classique.
Dans le quartier, le Palais japonais (musée d’Ethnologie de Dresde) ne passe certainement point inaperçu. Ce spacieux quadrilatère fut agrandi en 1727-1736 pour Auguste le Fort dans le style chinois de l’époque, avec des toits à l’orientale aux pavillons d’angle.
C’est entre ce palais et l’Albertplatz que fut aménagé en 1731 le quartier baroque de la rue Royale (Königstrasse), un ensemble de résidences bourgeoises avec des cours ouvertes, restauré selon l’original depuis 1990.
Plus insolite, entre l’Alaunstrasse et la Görlitzer Strasse, un passage nous promet bien des surprises : il s’agit du passage des Arts (Kunsthofpassage), avec ses cinq cours dont l’architecture aux détails fantaisistes reproduit un thème particulier : la « cour des créatures fabuleuses », la « cour de lumière » aux miroirs surdimensionnés, la « cour des éléments » avec ses tôles ou gouttières posées sur les façades, la « cour des métamorphoses » et la « cour des animaux ».
En outre, dans la Bautznerstrasse, la crèmerie de Pfunds mar, une étonnante boutique en activité depuis 1880, est citée dans le livre Guiness des Records pour sa décoration de faïence multicolore, aux 250 m² de carreaux peints à la main tant sur les murs que sur le sol et provenant de l’usine de céramique
« Villeroy et Boch » de Dresde.
La Neustadt, c’est aussi le marché couvert, un édifice centenaire aux balustrades en fer forgé et escaliers majestueux, comme encore le plus ancien bâtiment de Dresde, le Jägerhof (littéralement « Maison du Chasseur ») de la fin du XVIe siècle. Relais de chasse à l’époque des princes-électeurs, il héberge de nos jours le Musée d’art populaire saxon.
EISENACH
Au centre de l’Allemagne, Eisenach, adossée à la forêt de Thuringe, occupe une place considérable dans la culture allemande. Tout près de la frontière qui séparait les deux Allemagnes, cette cité pleine de charme, sur la rive gauche de l’Hörsel, a vu naître Jean-Sébastien Bach, dans une maison aujourd’hui transformée en musée.
LA MAISON DE JEAN-SÉBASTIEN BACH
Issu d’une famille de musiciens, Jean-Sébastien Bach vit le jour à Eisenach en 1685. La ville était alors la résidence des ducs de Saxe-Eisenach. Pendant dix ans, il a grandi ici, y a reçu ses premières leçons de musique et chanté dans la chorale de l’école et celle de l’église Saint-Georges. Tout au long de sa vie, il a fait référence à lui-même comme « Isenacus ».
C’est en 1907 que la maison natale de Jean-Sébastien Bach, sise sur la Frauenplan, a été réaffectée en musée, ce qui en fait le plus ancien et le plus important musée dédié à ce compositeur de génie. Dans cette discrète demeure à pan de bois de 1456 a été reconstitué un cadre de vie typique de la fin du XVIIe siècle, avec, sur 600 m², environ 250 pièces d’époque. Manuscrits et portraits évoquent la mémoire de l’artiste et de plusieurs membres de sa famille. L’attention sera encore attirée par un grand nombre d’instruments d’origine. Parmi les vestiges les plus frappants, on distingue un autographe du musicien et de précieuses éditions de « L’Art de la fugue ».
Une présentation passionnante de la vie et de l’œuvre de ce
« monument » de la musique classique que fut Jean-Sébastien Bach.
Programme du voyage :
MARDI 26 SEPTEMBRE :
Départ :
- Gembloux (rond-point devant la gare) 06H45
- Namur-gare 07H15
- Jambes (Acinapolis) 07H45
Trajet par autoroute jusque Weimar.
Déjeuner au restoroute.
Arrivée à Weimar entre 18H30 et 19H00.
Installation à l’hôtel Best Western Grand Hotel Russischer Hof**** .
Dîner et logement.
MERCREDI 27 SEPTEMBRE : WEIMAR
Petit déjeuner à l’hôtel.
Visite guidée du centre historique.
Déjeuner libre au centre-ville.
Visite guidée de la maison de Goethe.
Départ vers Dresde.
Installation à l’hôtel Dresden Star Inn im Haus Altmarkt.
Dîner et logement.
JEUDI 28 SEPTEMBRE : DRESDE
Petit déjeuner à l’hôtel.
Visite guidée du centre historique (Altstadt).
Déjeuner libre au centre-ville.
Visite guidée de la Ville Nouvelle (Neustadt).
Dîner et logement.
VENDREDI 29 SEPTEMBRE
Petit déjeuner à l’hôtel.
Visite guidée du Zwinger.
Déjeuner libre au centre-ville.
Croisière sur l’Elbe.
Temps libre.
Dîner et logement.
SAMEDI 30 SEPTEMBRE
Petit déjeuner à l’hôtel.
Départ de Dresde vers Eisenach.
Arrivée à Eisenach en fin de matinée.
Déjeuner libre en ville.
Visite guidée de la maison de Jean-Sébastien Bach.
Départ d’Eisenach.
Arrêt au restoroute pour repas du soir.
Retour :
- Namur 23H15
- Gembloux 23H45
N.B : un concert en soirée pourrait être prévu en option. Les personnes inscrites en seront informées.
Prix :
- Membre : 750€
- Non membre : 770€
- Etudiant et demandeur d’emploi : 730€
Supplément single : 200€
Acompte : 300€ en confirmation de l’inscription
Solde : 1er septembre 2017
En cas d’annulation et de non-remplacement, nous retiendrons les frais engagés, en plus des frais administratifs.
Ce prix comprend :
- le voyage en car ;
- le pourboire du chauffeur ;
- le demi-pension pendant tout le voyage en hôtels *** et **** en chambre double, avec petit déjeuner-buffet ;
- repas du soir (menus 3 plats avec boissons) ;
- toutes les visites guidées ;
- les entrées dans les musées ;
- le dossier de documentation.
Aucun repas de midi n’est compris.
Date limite d’inscription :
15 mai 2017
N.B :
Ce voyage sera assuré par les cars Deblire.